La Vudalla où la vue est là ! – Jeudi 30 octobre 2025
Il pleut ce matin mais Jean-François, Nicolas, Grethe, Ronald et moi-même sommes présents au
rendez-vous donné par Catherine à 7h45 à Ecoteaux et nous ne le regretterons pas !
Direction Moléson-Village en voiture où nous prenons d’abord le temps de boire un petit café ou thé. Le
timing est parfait car mon natel annonce la fin de la pluie à 9 h. pile, heure du début de notre marche.
Le brouillard est épais mais la température est agréable, un vrai temps d’automne ! Le chemin gorgé
d’eau est un peu boueux et monte pour commencer le long de la piste de ski direction le Petit-Moléson.
Nous traversons plusieurs pâturages et arrivés au chalet du Gros-Moléson, nous effectuons une petite
pause. Nous devinons à peine le sommet du Moléson qui se découvre légèrement.
Le sentier continue de monter et traverse à certains endroits quelques plaques résiduelles de neige.
Nous avons alors la chance de pouvoir admirer, à quelques pas de nous, un tétras lyre mâle. Il est
magnifique avec sa crête rouge, sa robe noire et sa queue en forme de lyre avec un peu de blanc
dessous. Nous avançons silencieusement pour ne pas l’apeurer et une fois à sa hauteur, pour notre plus
grand plaisir, il s’envolera pour aller se poser sur les hautes branches d’un sapin.
Encore émerveillés par cette incroyable rencontre, nous marchons maintenant sur une jolie crête où le
soleil fait à certains instants de minuscules apparitions. Le brouillard n’est pas très loin, juste un peu en
dessous de nous. Le sentier commençant à descendre, nous pensons avec Jean-François et Sigi être
déjà arrivés au sommet et déposons nos sacs à dos sur le sol. Que nenni nous fait remarquer gentiment
Catherine, nous devons continuer encore un peu, en effet la crête redescend avant de remonter pour
atteindre le sommet.
Une jolie croix en bois ornée d’une grue se dresse devant nous, plus aucun doute cette fois-ci nous
sommes bien arrivés au sommet de la Vudalla ! Le ciel est d’un bleu presque immaculé et le panorama
sur les sommets enneigés des montagnes environnantes est superbe, comme entre-autre la Dent de
Brenleire, le Vanil Noir, la Pointe de Paray, le Vanil Carré, la belle Dent-de-Lys qui semble posée sur un
nuage et le Moléson qui s’est enfin découvert. De l’autre côté, c’est une magnifique mer de brouillard
épaisse et seulement un tout petit bout du lac de la Gruyère est visible.
Notre pause de midi s’effectuera au soleil, assis au pied de la croix tout en regardant le brouillard qui
effectue des vas-et-viens devant nous, tant et si bien que nous pouvons apercevoir par courts instants le
restaurant Botta des Diablerets si cher au cœur de Grethe.
De la neige est présente sur le parcours initialement prévu pour le retour et Catherine préfère que nous
passions par Les Crosets. Tout d’abord, le sentier est assez raide et glissant mais nous descendons
sans encombre, quelques dernières centaurées ainsi que des petites gentianes bleues et champêtres
sont encore fleuries. Nous rejoindrons ensuite un bout la route goudronnée avant de traverser un dernier
pâturage et un petit torrent nous permettant de nettoyer nos chaussures avant de rejoindre nos voitures.
Encore une randonnée réussie en agréable compagnie et parfaitement organisée !
Nadia
Lac de Soi – Jeudi 11 septembre 2025
Après deux renvois consécutifs en raison de la météo capricieuse, nous voici enfin en route pour le Lac de Soi. Nous sommes six (Catherine notre cheffe de course, Jean-François, Ronald, Eric, Christian et Nadia) répartis dans deux voitures, direction Val-d’Illiez.
Le point de départ de notre randonnée se trouve au lieu-dit Plan Soi, situé à 1'204 m, non loin du torrent du même nom et à quelques pas de la cascade de Frassenaye que nous prenons le temps d’admirer au passage. Contrairement à la veille, il ne pleut pas et la température est idéale pour marcher. Le sentier va rapidement monter et ceci inexorablement jusqu’à notre but final du jour.
Pour commencer, nous cheminons sur une pente raide en zigzags dans une forêt d’épicéas, de mélèzes dont certains majestueux et d’hêtres. De nombreux champignons aux différents chapeaux ainsi que quelques feuilles jaunes jonchent déjà le sol comme pour nous rappeler que l’automne est proche. Comme à notre habitude, chacun se déplace à son propre rythme et rapidement deux petits groupes se forment.
A la sortie du bois et après environ deux heures d’effort, un joli banc s’offre à nous au bord du chemin pour une petite pause. En contre bas se trouve Champéry et nous pouvons alors admirer un petit arc-en-ciel pour notre plus grand plaisir, juste en face de nous un paysage verdoyant entrecoupé de plusieurs torrents aux magnifiques cascades et deux petits chalets sont accrochés à la pente. Mais nous apercevons aussi la limite du brouillard juste en-dessus de nous et allons vite nous retrouver dans cette jolie purée de pois.
Arrivés au col, le sentier herbeux suit la crête de l’Arête de Soi et traverse plusieurs enclos pour moutons qui ne sont pas encore tous démontés pour l’hiver. Nous dégustons au passage quelques dernières myrtilles qui s’offrent à nous au milieu des buissons de rhododendrons. Après plus de 3 heures de montée, nous voici maintenant sur un sentier rocailleux et nous entendons le clapotis d’un torrent sans pouvoir le voir car le brouillard est trop épais. Encore un petit effort et nous voici arrivés au Lac de Soi à 2'247 m d’altitude.
A côté de nous, deux petits bassins communiquant entourés de murs en pierres et à leur centre, deux magnifiques cairns. Nous nous faufilons sous un petit arc en clé de voute au bord de l’eau et essayons de découvrir tant bien que mal les nombreux édifices, tous en pierres sèches, réalisés par deux frères tombés amoureux du lieu.
Nous cherchons un endroit pour le pique-nique de midi mais il faut dire qu’il ne reste plus beaucoup de cailloux non utilisés pour les constructions ! Et c’est tout naturellement que nous nous retrouvons tous assis en rond sur la même grosse pierre. Nous ne tardons pas à repartir car il ne fait pas très chaud.
Comme pour la montée, la descente s’effectuera dans la bonne humeur et par le même chemin.
Un grand MERCI à Catherine pour la découverte de cet endroit à l’atmosphère si particulier. Il est vraiment nécessaire que nous y retournions vite pour pouvoir l’admirer également par beau temps.
Nadia
Sortie intergénérationnelle aux Rochers de Naye 06 septembre 2025
C'est avec un ciel dégagé et un soleil radieux que nous nous retrouvons sur le parking de la Samvaz à Châtel-st-Denis. La route pour monter au col de Jaman devient de plus en plus étroite et sinueuse à mesure que nous approchons de l'objectif. Une fois sur place, le groupe se sépare en deux. Les marcheurs (Catherine, Anne-Marie, Françoise, Yolande, Philippe, Ronald, Angela). et les ferratistes (Amandine, Lucas, Francis, Hervé) .
Après une marche d'approche d'un peu plus d'une heure, nous atteignons enfin le début de la via. Contrôle du matériel, boisson, petit en-cas et c'est parti pour le petit groupe de 4 personnes que nous sommes. Il n'y a personne, la paroi s'offre à nous! Dès le départ, la voie nous fait comprendre qu'il faudra économiser nos bras. Succession de passages en dévers, de glorieuses traversées, gracieux balancements du corps et quelques moments délicats où l'on préfère ne pas traîner pour crocher nos mousquetons sur la portion suivante.
A mi-chemin environ, nous atteignons une entrée de grotte dans laquelle nous pouvons nous reposer quelque peu, et surtout admirer la splendide vue qui s'offre à nous. Le lac Léman, surplombé de ses majestueuses montagnes semble à la foi si proche et si éloigné. Le panorama est magnifique et ferait presque oublier le vide sous nos pieds. La grotte en question est signalisée comme potentiellement mortelle et il est fortement déconseillé de s'y aventurer sans les connaissances et le matériel adéquat. En effet, elle est isolé de ses voisines, descend sur des centaines de mètres et se termine par un puit de 10 à 40 mètres.
Quoiqu'il en soit, cela n'est point notre objectif du jour. A nouveau, nous nous élançons et la via ne manque pas de nous rappeler son exigence. Il faut être présent dans chacun de ses mouvements, ressentir chaque pied posé, jouer avec les aspérités naturelles de la roche et resté concentré malgré la tentation de s'abandonner à cette vue indescriptible de beauté.
Arrivés proche de la sortie, deux options s'offrent à nous: La première propose une sortie plus rapide et sécure 40 mètres plus loin. La 2ème classée TD+ propose après une petite descente de monter tout droit sur l'angle de la paroi rocheuse, évidemment avec un certain dévers qui m'oblige à faire une pause, dégaine accrochée afin de reposer mes bras. Ce passage est incroyable. Encore quelques efforts et nous émergeons sur la crête des rochers de Naye et profitons d'un moment de détente bien mérité rejoints quelques minutes plus tard par l'équipe des marcheurs avec qui nous partageons un moment de convivialité.
Lucas
Il est 9h, lorsque nous -les marcheurs- partons depuis le Col de Jaman (1511 m) en direction Sautoboz (1811 m) par un chemin à flanc de coteaux. Après une petite grimpette nous arrivons à cet bel endroit marqué par un magnifique cairn et une vue imprenable sur le Lac Léman, le Grammont, la Dent d’Oche, les Cornettes de Bise, les Mémises. Une pause s’impose pour admirer et savourer et pour faire la photo du groupe complet.
Nous continuons jusqu’au terminus du train pour retrouver nos 4 grimpeurs à la sortie de la via ferrata. Pique-nique avec une vue panoramique et magnifique de 360 degrés - les yeux ne se lassent pas et avec une rasade de vin rouge pour l’apéro…
Après cet en cas ensoleillé nous poursuivons notre périple jusqu’aux grottes…!!!
le défi du jour !
On s’équipe pour le passage : lampes et vestes sont bienvenus !
Avec curiosité et un peu d’appréhension nous entrons dans le ventre de la montagne.
Il fait frais, humide, sombre, c’est étroit, ça glisse….mais on s’exclame:
Il y a des chaînes…!!! ça va….ça va bien !!! Plus on avance, plus ça devient étroit.
Il vaut mieux avoir des hanches pas trop larges et la souplesse est demandée, sinon il faut avancer sur les fesses ou même sur les genoux à 4 pattes !
Enfin on voit la lumière au bout du tunnel de la grotte …ouf….et on voit aussi la flexibilité de chacun/e : plus que les pantalons sont propres plus la personne est souple…L’essentiel c’est que tout le monde sort vivant sain et sauf (plus ou moins), même qu’on a appris, que les guides ont droit à une perte de 10 %….aie aie aie …quelle aventure !!!!
Après s'être débarbouillé les mains et autre nous redescendons tranquillement. Sur le chemin les bonnes observatrices découvrent un petit fossile, c’est un vrai…et pas un «faux cil…»
Juste en arrivant, petite visite de la fromagerie et on finit à la buvette sans alcool au Col pour une bière bien méritée.
Arrivant au parking de Samvaz nous sommes plus ou moins fatigués, mais heureux de cette belle journée.
Un grand MERCI aux organisateurs pour le choix de cette destination - pas besoin de partir loin pour savourer la beauté de cette nature, qui nous entoure.
Merci pour le choix de la météo ensoleillée et l’organisation parfaite !
Comme Hervé dit: les chefs de course sont là pour nous faire vivre des sensations fortes et inoubliables…alors, c’est bien réussi, les Grottes: on va s’en souvenir !
Espérons que cette idée inter-générationnelle va se poursuivre l’année prochaine avec encore plus de «jeunes»….
Merci Catherine, merci Hervé, merci à toute l’équipe pour cette belle sortie sympa!
Ronald et Angela
Le Tour des Gastlosen-3.7.25
Deux semaines de sécheresse et canicule, entrecoupées d’orages violents. La montagne par plus de 30° ? Catherine, imperturbable, maintient la sortie du 3 juillet. Pour déjouer la chaleur et les perturbations atmosphériques : départ fixé à 6h30, gare de Châtel. Sont partants :Yolande, Nadia, Élisabeth, Grethe, Jean-François, Jean-Jacques, Lorenza , Catherine et moi. Nous accueillons avec joie Lorenza, nouvellement admise au CAS, qui effectue sa première sortie avec nous mais qui, antérieurement, a bien des sentiers alpins à son actif.
Départ de la buvette des Sattels. Le ciel est couvert, l’air frais, mais très vite la température corporelle grimpe sur le sentier vers Ober Sattel. La vue de ces crêtes en dentelle et de ses parois lisses comme des pains de savon nous laisse songeurs. Comment les Préalpes peuvent-elle soudain s’ériger en Dolomites ? Pourquoi, quand ? Il faudra s’en référer, au retour, au copain géologue pour explications…
Nous arrivons au Chalet du Soldat, nommé antérieurement « Chalet du Régiment » construit en 1945 sous l’impulsion d’un groupe d’officiers. On y fait une courte pause dans le pré d’en face, sans y entrer, malgré ma forte envie d’un bon café ! On se prépare pour la montée et son passage « croustillant ». Catherine nous suggère un ordre d’avancée pour palier à nos éventuelles appréhensions. Durant cette ascension, arrêt sur une corniche pour observer la vallée : deux chamois y broutent l’herbe fraîche. La grimpette se fait sans accrocs, les chaînes aidant, même pour Grethe dont les enjambées étaient parfois plus qu’à sa mesure.
Après ce couloir rocheux, c’est l’air libre et la descente mais avec passage aérien. Là aussi Catherine nous fait confiance, convaincue que l’on est déjà tous montés dans une échelle et que le vide ne nous fait pas peur !
Il n’est que 10h. De ce côté de la montagne l’air est déjà plus chaud, mais le ciel reste couvert. La descente se fait à travers de doux alpages, des forêts d’épineux et quelques pierriers. La flore est d’une grande variété en ce début juillet. Plusieurs plantes n’ont pas trouvé de noms à nos yeux. Il faudra refaire une course botanique avec Françoise pour améliorer nos connaissances ! La rencontre avec une ornithologue nous apprend la présence de certains oiseaux spécifiques nichant dans cette région.
Plus loin, en longeant un sentier forestier, nous entendons ce bruit caractéristique de la pierre qui dégringole la paroi rocheuse dans notre direction. Fort heureusement le caillou terminera sa course, freiné par les arbres, pas très loin du sentier. Juste assez près pour avoir un peu peur (je parle de moi).
Et c’est après la pause de midi, vers Ober Gastlosen , sous les sommets du Sattelspitzen qu’apparaît le « Grossmutterloch ». Un trou dans la paroi rocheuse de 5 x 15 m. de hauteur, qui, selon la légende, est issu d’une altercation entre le diable et sa grand-mère. Il faudra y revenir en janvier pour voir le soleil le traverser et venir éclairer d’un disque d’or, la neige en contre-bas.
Ensuite pause au Chalet du Grat où un chien quémande, à qui le veut bien, une caresse. Yolande restera stoïque devant ces yeux insistants! Nous terminons la marche au Chalet des Sattels avec une glace savoureuse.
Merci à Catherine pour une organisation hors pair et aux participants pour leur bonne humeur.
Jeanne
Wolfs Ort & Grubenberghütte – Jeudi 15 mai 2025
Le départ de notre marche débute de la place de parc du restaurant Zitbödeli à l’entrée d’Abländschen. Nous sommes sept : Catherine notre organisatrice de course, Jean-François, Jeanne, Grethe, Yolande, Jean-Jacques et moi.
L’air frais ressenti en sortant des autos devient très vite agréable avec l’effort de la montée. Le sentier serpente dans une forêt de sapins au sous-bois d’un joli vert tendre et au délicat parfum de printemps, les pives sèches roulent sous nos chaussures et le chant mélodieux des oiseaux nous ravit.
Puis nous traversons plusieurs pâturages et après une bonne heure de grimpette à notre propre rythme, nous effectuons comme à notre habitude une petite pause dans l’herbe. Juste en dessus de nous pâturent quelques génisses ornées de jolies cornes, ce seront les seuls bovins que nous croiserons aujourd’hui car les troupeaux ne sont pas encore montés à l’alpage. Diverses fleurs sont quant à elles déjà au rendez-vous : primevères, trolles, pissenlits, myosotis, violettes, petites et grandes gentianes bleues, anémones, orchidées…
Nous continuons notre ascension en rejoignant le sentier du tour des Gastlosen jusqu’au Wolfs Ort (col du loup) à 1915 m. Nous percevons alors le chant amoureux d’un coucou que nous entendrons à plusieurs reprises durant la journée. La vue depuis le col est impressionnante sur le chalet du Régiment de l’autre côté de la montagne et nous pique-niquons un peu en contre-bas à l’abri du vent, avec en face de nous les belles Alpes Bernoises. La pause sera moins longue qu’habituellement et Catherine nous invite à continuer notre randonnée au pied du Wandflue et ses parois vertigineuses où quelques alpinistes aguerris sont encordés.
Nous devons traverser plusieurs petits névés et Jean-François a la bienveillance de passer en premier pour nous tracer des pas dans la neige et nous éviter ainsi de glisser jusqu’en bas de la pente. Le sentier caillouteux descend maintenant. Après avoir franchi un pont enseveli sous la neige où coule un petit torrent, nous devons traverser une zone un peu marécageuse à l’eau stagnante brunâtre. Heureusement pour nous, des grilles métalliques ont été disposées sur le sol pour nous faciliter le passage. La neige vient certainement de fondre car le pré suivant est recouvert de crocus blancs comme s’il était saupoudré de sucre glace.
Après avoir traversé un nouveau névé, le sentier orné d’innombrables grosses gentianes bleues remonte et nous arrivons à notre deuxième objectif du jour la cabane du Grubenberg à 1839 m. La vue panoramique est superbe. Nous décidons alors de nous installer sur la terrasse aménagée devant l’accueillante bâtisse et effectuons une courte pause pour nous désaltérer.
Il est déjà temps de laisser derrière nous ce magnifique endroit et de redescendre dans la vallée. Maintenant la bise se fait un peu plus ressentir et nous empruntons un chemin différent qui nous permettra ainsi d’effectuer une boucle. Après avoir longé un cours instant le bord de la Jogne nous retrouvons nos voitures.
Un grand merci à toute l’équipe pour la charmante compagnie et plus particulièrement à Catherine pour l’organisation toujours au top !
Nadia
La Laitemaire
1er mai, fête du travail, toute l’équipe est prête pour une journée active et récréative direction le sommet de la Laitemaire (qui signifie : laite/lete, (alpage) et maire (plus grande) désignant donc un grand alpage.
Catherine, notre cheffe de course a prévu un parcours, sur la carte, rond comme les ballons de Château d’Oex !
Départ de Château d’Oex sous un chaud soleil printanier : Catherine, Eric, Jean-François, Nadia, Elisabeth, Grethe, Yolande et moi. D’abord la traversée du village entre les anciennes constructions et les nouvelles, toutes décorées selon l’art de la paysannerie. Le sentier nous conduit jusqu’aux Bossons entre boisés et pâturages.
Sur notre gauche, la chaîne des Vanils se présente comme une paroi austère. Dans les ravines, en hauteur, les plaques de neige sont alignées comme les touches d’un piano. Une blanche, une noire…
Le Mont d’en Haut constitue pour nous le bout de la ficelle qui retient le ballon. Depuis là, nous suivons le sentier jusqu’aux Ciernes Charbon : arrêt pour une courte pause face au Vanil Noir et Vanil Carré. La marche se poursuit jusqu’à Soupla-dessus, à travers les pâturages, où les vaches n’ont pas encore pris leur résidence d’été bien que l’herbe y soit déjà haute et tendre.
Encore une petite montée et voilà que s’ouvre à nous, l’autre versant : les Alpes bernoises. Petite leçon de repérage une fois au sommet à 1678 m. d’altitude. Les experts du groupe nomment tous les pics rocheux à l’horizon. La néophyte que je suis apprend et tente d’en retenir quelques-uns pour la prochaine sortie !
Pour la pause pique-nique, de nombreux papillons virevoltent autour de nous alors qu’à nos pieds, les soldanelles, les crocus, les potentilles… les attirent.
La descente passe par le Grand Combe et les Chiets pour rejoindre le Mont d’en Haut et boucler la boucle.
Retour vers Château D’Oex par le sentier du départ. Plus nous approchons du village, plus la température augmente, particulièrement sur les passages bétonnés. Nous terminons au café, voisin du musée du découpage, par un breuvage bien frais.
Merci à Catherine et à l’équipe pour cette jolie marche printanière du 1er mai sous 25°.
Jeanne
Dent de Vaulion – 10.04.2025
Rendez-vous est donné par Catherine, notre organisatrice en gare de Palézieux, départ à 8h03 pour Vallorbe. Nous sommes 8 personnes, deux autres nous rejoignent en cours de route. Arrivé à 9h15.
Le temps est magnifique et ensoleillé, ce qui nous réjouit d’autant plus d’entreprendre cette course.
Avant d’entrer dans la forêt pour commencer la grimpée, nous avons le plaisir de voir quatre chevreuils à quelques dizaines de mètres de nous. Nous commençons la montée à travers la forêt. Catherine nous guide à travers les chemins qui sont parfois différents de ceux de l’itinéraire balisé. Ceci afin de nous éviter une marche sur route et de nous faire profiter un maximum de la nature. Tout au long de notre marche nous partageons diverses conversations entre nous et faisons ainsi connaissance pour les nouveaux participants.
La bonne humeur est au rendez-vous. Après environ 2 heures 30 nous sortons de la forêt et pouvons déjà profiter d’un magnifique paysage sur les Alpes. Une petite pause s’impose, pour un petit grignotage et se désaltérer. Nous reprenons notre course et passons à travers les pâturages avant d’entamer une dernière montée avant la crête de la Dent de Vaulion. Et là c’est un paysage absolument magnifique avec vue sur le Lac de Joux et Le Lac de Brenet, le Jura sur la droite. Sur la gauche la chaîne des Alpes, splendide ! une vue à 360o. Les connaisseurs reconnaissent les sommets les plus célèbres comme le Mont Blanc, les Dents du midi, la Dent Blanche et j’en passe. Une table d’orientation est à disposition, mais rien ne vaut les yeux avertis de certains. Nous pouvons devinez les différents lacs toutefois pas très visibles en raison d’une légère brume. Une très forte bise nous oblige à nous mettre en contrebas pour la pause pique-nique. Nous avons encore le plaisir de nous retrouver face à quatre chamois en train de brouter, pas farouches et pas effrayés du tout.
Nous reprenons notre route toujours sous la guidance de Catherine, en direction de Le Pont.
La descente est assez douce et Catherine avec ses connaissances nous évite à certains endroits de prendre les chemins sur route en privilégiant les chemins de traverses. Tout au long de la descente nous avons le Lac de Joux face à nous. Arrivé à Le Pont, on se croirait presque dans un endroit de vacances.
Pas le temps de boire une petite bière ou autre, Catherine qui veille sur nous et nous donne l’horaire du prochain train et il reste seulement environ 10 minutes. Une prochaine fois !
De retour à Palézieux à 16h11 tout le monde se salue et se réjouit de la prochaine course.
Merci Catherine pour cette belle journée !!!
Elisabeth
Bivio-semaine senior-16 au 22 mars 2025
Jour 1, lundi 17 mars
Cette semaine est une nouvelle page blanche à écrire. On aimerait qu’elle devienne un tableau strié de nos courbes harmonieuses dans une poudreuse immaculée et luisante au soleil.
La première heure était un tableau blanc ! Le vrai jour blanc ! Pourtant la météo annonçait que le ciel se dégagerait assez vite. On était monté avec le ski-lift (oui on s’excuse, on ne le fera plus, quoique 😊), on espérait voir plus loin que nos spatules mais ce n’était pas le cas.
Dave nous propose alors un changement de programme : on va redescendre sur la piste bleue jusqu’à Bivio et se déplacer un peu plus loin vers l’est où semble-t-il la montagne est un peu mieux dégagée.
Et là on mesure ce que c’est un vrai jour blanc, sans aucun relief, aucun point de repère dans un brouillard si épais qu’on pourrait presque le former en boule. On ne sait plus où est le haut et le bas, sauf si on regarde nos skis. L’un de nous dit que c’est comme si on était plongé dans une piscine de lait. On tombe en s’arrêtant, on est pris de vertige, notre cerveau ne sait plus comment gérer la situation. On redécouvre le chasse neige, sur une piste bleue, la honte !
Tant bien que mal on arrive à Bivio, on embarque dans les voitures et on monte le col du Julier. Et là, … on ne voit rien, ce n’est pas mieux ! On descend vers Silvaplana, et la luminosité augmente un peu, plus loin on voit un coin de ciel et bientôt tout un paysage, YES ! On a parcouru 7 km à vol d’oiseau et c’est une autre météo !
Nous sommes au bas de la vallée qui monte vers le Piz Lagrev, on l’attaque à notre rythme de vaillants seniors, aussi vite que possible et aussi lentement que nécessaire, et dans la bonne humeur retrouvée.
Dave nous trace un itinéraire de géomètre, avec une pente continue à 14,32 %, et cerise sur le gâteau, il nous épargne la multitude de conversions que d’autres avaient tracées avant lui.
Le danger 3 d’avalanche nous contraint à renoncer 100 m avant le sommet, vers 3000m, pour rester dans des pentes inférieures à 30 degrés. D’autres plus téméraires s’y lancent et l’atteignent, mais déclenchent des petites coulées de poudreuse à la descente. On est bien rassuré par le choix de Dave !
Et c’est là que nous commençons le dessin sur la page blanche. Nous traçons nos courbes harmonieuses dans une pente vierge. Oui, elles sont harmonieuses nos courbes ! La neige est profonde, dense et un peu lourde, elle demande à être travaillée pour être sillonnée élégamment. En bas on se retourne et on repère notre trace parmi celles des autres. C’est celles de droite. Et ce n’est pas si mal pour des seniors ! Bon, le guide c’est autre chose, mais c’est seulement parce qu’il est en télémark 😊
Poudreuse, poudreuse et encore poudreuse, jusqu’aux voitures !
La première journée est une belle réussite, on a depuis longtemps oublié le brouillard du matin et nos virages qui ressemblaient à ceux de débutants les yeux bandés !
L’after-phoque se passe attablé devant une boisson rafraîchissante à Bivio, et on se dit tous que la semaine commence rudement bien !
Charles et Chantal
J2, mardi 18 mars 2025
Ce deuxième jour s’annonce prometteur, le brouillard de la veille fait place à un grand soleil matinal. Nous prenons à nouveau le téléski Camon depuis Bivio, cette fois avec visibilité, puis celui de Al Cant. 800m d’ascension de gagnés !
Afin de nous distancer de plusieurs grands groupes qui s’engouffrent dans la belle vallée de l’Eva da Lunghin, nous prenons encore un peu de hauteur, après un premier champ de poudreuses, pour nous mettre l’eau à la bouche, nous entamons la montée par la droite. Une ascension régulière de plus de 600m nous attend, jusqu’au pied de l’arrête entre le Piz dal Sasc et le Piz Lunghin.
Une superbe descente de plus de 1400m, jusqu’à la porte de l’hôtel, nous ravi. Majorité de poudreuse, un peu de carton pas trop méchant et quelques restes de brouillard de la veille, laissés sur le côté. Merci Dave pour ta recherche perpétuelle et ton flair pour nous guider sur les meilleures pentes.
Une très belle journée qui se termine sur la terrasse ensoleillée du café Roccabella !
Jean
J3, mercredi 19 mars 2025
Il est 8h30 lorsque nous débutons notre rando du jour au départ du téléski, à quelques pas de l'hôtel Poste. La destination est le Piz Scalotta qui culmine à 2991 m. La neige est dure, la nuit était claire et froide ! Le soleil nous réchauffe déjà sous un ciel tout bleu. Un premier arrêt au nord de la ferme du Val Reiva nous permet d'observer un troupeau de bouquetins sur l'arrête mi-enneigée du Crap da Radon à quelques centaines de mètres au-dessus de nous. Le chant d'une bartavelle nous alerte. Les jumelles de Dave nous permettent de la voir. Une deuxième est juste à côté. Une chance pour nous de rencontrer de tels animaux sur notre chemin. La montée se poursuit, les dos se mouillent, le rythme diminue, il est l'heure de faire la pause pique-nique, afin de reprendre des forces pour le final. Le « rocher du lion » situer au bas du Val Gronda se prête admirablement bien pour se moment gastronomique. Une demi-heure plus tard nous partons pour les derniers 300 m. de dénivelé. Un dépôt des skis à 70 mètres du sommet est nécessaire. Après la traditionnel séance de photos de toute l'équipe au Top, la descente débute par une partie bien technique que tous maîtrisent avec succès. Pour la suite de la descente, Dave champion pour trouver une neige bien praticable, nous conduit dans de belles pentes où nous nous régalons. Nous contournons le Crap da Radon par l'ouest pour rejoindre l’arrêt de bus de Stalvedret. Troisième belle journée, merci.
Ueli
J4, jeudi 20 mars
7h30, après un bon petit-déjeuner, nous prenons la route. Arrivés devant le restaurant La Veduta, Jean-François sort son tabouret escamotable pour accéder au coffre de toit et en sortir nos skis. Charles lâche un envieux : « Faut que je m’en achète un ».
Objectif du jour : Piz Surgonda, 3195 mètres. Nous entamons la montée sous un soleil radieux, entourés de paysages à couper le souffle. À mi-parcours, Dave propose une option : ceux qui le souhaitent peuvent pousser jusqu’au sommet pendant que les autres patientent plus bas. Charles, Jean, Ueli et moi acceptons le défi.
Jean-François et Catherine optent pour le col, tandis que les autres attaquent la dernière montée à pied. Une petite arête plus tard, nous atteignons le sommet, et Jean, inspiré par l’altitude, propose une Holà.
Retour à la troupe, mais Dave, fidèle à lui-même, a une nouvelle idée: remonter un bout pour s’offrir une belle descente en poudreuse. On suit, et il avait raison… Une neige de rêve, du pur bonheur !
Puis vient la dernière descente jusqu’au point de départ… du lundi. Petit détail : nos voitures sont encore deux kilomètres plus loin. Option 1 : marcher (bof). Option 2 : trouver une bonne âme motorisée. C’est là qu’Ueli entre en scène, sort son plus beau sourire et charme une conductrice allemande au volant d’une petite voiture bleue. Elle accepte d’embarquer trois d’entre nous. Jean-François, Charles et Ueli partent donc en mission récupération, avec un démarrage façon Grand Prix.
Quelques minutes plus tard, mission accomplie : les voitures sont là, le matériel est chargé, et nous rentrons à l’hôtel, fatigués mais ravis.
Encore une belle journée en montagne, avec du soleil, de la bonne neige et quelques anecdotes à raconter au souper !
Charles-Henri
J5, vendredi 21 mars
Ce matin là un changement de temps est annoncé : «vent et sable du Sahara dans le ciel» dit la météo !
Au départ de la Veduta, ça souffle ça oui, c’est gris aussi mais c’est bien motivés que nous nous mettons en route pour le dernier sommet de la semaine Nous laissons passer les autres groupes, histoire d’être tranquilles.
Une première montée un peu raide nous amène au lac de Grevasalvas. Là une couche d’eau sur la glace et sous la neige me fait tester étanchéité de mes chaussures, eh oui j’aurai du tasser la neige avec mes skis avant de les ôter…
Du lac l’itinéraire que nous allons emprunter nous paraît raide au dessus d’une barre rocheuse et nous impressionne ; en fait comme souvent une fois dans la pente , il n’en sera rien.
A la pause près de la bifurcation pour le col de Grevasalvas, un gant gît dans la neige, Dave fait un handshumännli pour le signaler, nous rencontrerons son propriétaire un peu plus haut dans la combe.
Le ciel s’est dégagé et la visibilité est maintenant bonne.
Une courte grimpette après le dépôt de ski nous mène au sommet, là une fois de plus nous sommes subjugués par le panorama.
Nous nous préparons pour la descente . Jean constate qu’il a perdu une pièce de sa fixation et que celle-ci ne tient plus. Les Mac Gyver du groupe, des colsons et du fil de fer font miracle et Jean descendra sans trop de peine.
Malgré les nombreuses traces, la descente est encore bonne et c’est heureux que nous terminons la course devant shorley, bière et délicieuses tartes aux noix à la Veduta.
« Chi va piano va sano e va lontano », ainsi le groupe des seniors et moins seniors aura gravi le Piz Lagrev, Le Piz dal Sasc, Le Piz Sugonda, ,le Piz d’Emmat Dadaint, et l’équipe sera arrivée au complet au Piz Scalotta, gravissant 1250 m pour le plus grand bonheur de tous
Catherine et Jean-François
Course annulée suite à de multiples annulations et à une météo très médiocre
Course annulée suite à de multipl ...
Week-end ski de fond à la vallée de Conches en remplacement de la vallée de Joux
Samedi 1er février
Départ à 7h45 de la gare de Remaufens pour Palézieux, Vevey, Brig et Gluringen pour Yolande et Eric rejoints par Catherine, Jeanne et Jean-François à Vevey.
Fin de matinée, dépose de nos bagages dans le local ski du Wallisersonne. L’hôtel n’ouvrant ses portes qu’à partir de 15h00, Jeanne part à la recherche de toilettes. Quelle n’est pas sa surprise en ouvrant une porte de se retrouver nez à nez avec un gros cochon tout rose et bien dodu.
Une fois équipés de nos lattes, en route pour la glisse sur les pistes de fond de Goms. La neige est bonne, la température assez douce, le ciel voilé. Chacun va à son rythme en direction d’Oberwald au fond de la vallée, la piste passe par Reckingen, Münster, Ulrichen. Jeanne et Yolande, nos deux gazelles du week-end, s’arrêtent à Münster pour pique-niquer avant de poursuivre sur Ulrichen afin de boire un thé et prendre la piste de retour pour l’hôtel. Catherine et Jean-François pousseront également jusqu’à Ulrichen avant l’arrêt repas, la faim les tenaille et c’est déjà largement passé 13h00, bien tard pour dîner, n’est-ce pas Jean-François ? Je les rejoins pour une Gulaschsuppe et un Sauermoscht avant de poursuivre sur Obergesteln puis de faire demi-tour pour rejoindre l’hôtel après 2h30 de glissade.
Soirée autour d’un bon repas avec quelques bons rires et une discussion sur les « traumatisés de l’école », traduction « les membres en délicatesse avec la rédaction d’un récit pour notre bulletin. »
Eric
Récit de course dimanche 2 février
« Fonder dans la vallée » (Sur un air de “Siffler sur la colline » de Joe Dassin)
J’les ai vus près d'un wagon où ils grimpaient pour faire du fond
Quand j'ai demandé d'où venait leur passion, ils m’ont dit
C'est de Catherine qui connaît si bien la région
Puis quand j'ai dit qu'avec eux je s’kierais volontiers aussi
Ils m’ont dit :
Ils m’ont dit de les rejoindre au Wallisersonne
Là-bas où Yolande, Jeanne, Eric et puis Jean-François
Fourbus, attablés autour d’un r’pas bien arrosé
J'ai cherché et parcouru la chambre deux cent trois.
Aux abords du village, le matin nous avons chaussé
Attention les jeunes la glace est bien souvent source de chutes
Rouge le train qu’nous avons pris pour réduire le dénivelé
Une fois au bout d’la vallée c’est des longueurs qu’on exécute
On se dit :
La vie est si belle sous le soleil du Haut Valais
Que faire une pause n’est jamais inenvisageable
Même quand on ne peut pas discuter en français
A défaut les rires n’ont vraiment rien de bien coupable.
Nous a dit d'aller commander nos billets d’retour
De nous retrouver à la gare changés et tout secs
Z’ont longé le Rhône et vers ses rives ils accourent
Cath’rine, merci pour le ski dans cet’ lointaine Mecque.
MJM, février 2025
Ce fut une journée incroyable et inespérée ! Rendez-vous à Samvaz à 7h30, nous voilà partis, une fine équipe composée de Françoise, Elyne, Fréd E., Fréd B., Philippe, Pavel et Charles-Henri, pour un départ des Cerniers vers 9h00. Une jolie montée variée nous amène au sommet après moins de 2 heures. La vue est imprenable sur les Dents du Midi et les montagnes environnantes. Après les différentes poses photos de circonstance, nous entamons un petit portage jusqu’au refuge de la Dent de Valerette où Pavel y dépose sa bûche portée dans son sac à dos depuis mi-parcours ;-). Après une pause bien méritée et sans vent autour du kern, nous redescendons par une jolie pente recouverte d’une dizaine de centimètres de poudre. Notre sortie se termine par une petite bière ou café sur la terrasse du la brasserie d’alpage des Cerniers pour rentrer avant les bouchons. Merci à tous pour votre bonne humeur ! Caro
Pour cette 3ème sortie, nous avons à nouveau mis le cap sur la Lécherette. Après quelques pistes d’échauffement, nous avons exercé le virage stem. Ce n’est certes pas le plus élégant, mais cela permet de franchir des passages compliqués dans des neiges compliquées. Pour varier les plaisirs et renforcer nos cuisses, nous avons également vu le virage par abaissement (cross under). Lorsqu’il y a beaucoup de neige, c’est une technique qui offre de la liberté aux skis et permet des changements de direction très rapides.
Nous n’avons pas trouvé de neige fraîche ce jour là, mais les conditions étaient étonnamment bonnes même en hors piste. Nous avons organisé la pause autour d’un petit chalet et vibré en regardant la descente d’Alexis. Un bon hiver à tout le monde. Fréd
Course effectuée, mais changement de but : Galm au lieu de Albristhubel.
Très peu de neige.
Nous nous sommes retrouvés sur le domaine de la Lécherette pour cette 2ème journée de ski en neige non-préparée. La station se prête très bien à ce genre de formation et nous avons pu profiter des nombreux bords de pistes. Les conditions de neige étaient idéales pour apprendre car il y avait toutes sortes de neige. Du carton dur à de la neige presque poudreuse. Du coup, nous avons profité de revoir les fondamentaux du ski sur la piste puis de mettre en pratique en neige non-préparée. Nous avons passé une belle journée dans la bonne humeur et sommes rentrés juste avant la tempête !